J’ai raté le train, je prends l’éléphant

Dialogue entre équilibre sur mains, jonglage, contorsion et beaucoup de jeu théâtral qui ne perd jamais l’occasion de déborder dans l’univers du Clown; rêvé et interprété par un terrifiant-terrifié-terrifiant jongleur de balles et une renversée-par-principe équilibriste sur les mains. Une pièce, dont rythme procède en zig zag; c’est dans l’accord et dans le désaccord (on ne sait pas lequel arrive en premier) qu’ils trouvent une vraie raison d’être ou, en l’occurrence, une vraie folie d’être.